


Fabien Licata, PHOTO-GRAPHISTE contemporain,
www.fabien-licata.com
www.facebook.com/fabien.licata.photographe/
www.instagram.com/fabienlicata
Je suis Photo-Graphiste... Une aventure qui a commencé très tôt.
1968 - C’est une présentation de diapositives de mon oncle en 1968 suite aux JO de Grenoble, qui restera gravée à jamais dans ma mémoire, et qui éveillera ma passion pour la photographie à laquelle je m’initie très vite. J’ai toujours eu l’esprit curieux, rebelle, insoumis et créatif et cependant je n’en ferais pas mon métier, non par choix, mais par dissuasion. « Photographe, ce n’est pas un métier !» C’est ce que j’entendais autour de moi. Malgré tout, j’ai gardé cette passion enfouie et indéfectible pour la photographie et attendais patiemment le jour où je pourrais enfin exercer comme professionnel.
1970 - Malgré mon jeune âge, je deviens photographe de la famille, et je garni les albums de nombreuses photographies de table, de « dessus de crânes » et de portraits figés, arrangés, dictés, posés. Je me plais à ironiser ces souvenirs, car ce sont eux qui plus tard feront que j’abandonnerai pour une longue période la photographie humaniste.
1860 – 1970 - Si la photographie couleur est créée dans les années 1860, elle n'obtient ses lettres de noblesses que dans le milieu des années 1970, quand les photographes auteurs s'en emparent. Environ un siècle de tâtonnements avant de devenir grand public.
1976 - 1982- Une passion pour le noir & blanc _ C’est avec mes premières paies de colo, que j’investi peu à peu dans un réflex argentique et mon premier labo photo en noir et blanc confiné sous la cage d’escalier de la maison familiale. Je vendais mes tirages, pour amortir produits et papiers. J’ai participé à quelques concours locaux et me suis très vite intéressé à toutes les possibilités de développement, de « trucages » photo, comme il se disait à l’époque.
Quand arrive la couleur, c’est pour moi un signe de modernisme. J’abandonne alors prudemment le noir et blanc argentique et bascule vers toutes les nouveautés sans nécessairement regarder dans le rétroviseur de l’histoire de la photographie. « Ça c’est fait !», plus besoin d’y revenir …
1995 – 2008 - La révolution du numérique _ C’est après 10 années d’avènement informatique, et aussi pour des raisons financières, que je bascule dans le tout numérique. Là encore, je tourne la page et j’entrevois tous les avantages des nouvelles technologies.
2005 – 2020 - En 2005, je me lance dans la peinture. Lors d’une commande de retouche photographique je découvre par hasard un processus qui me permet aujourd’hui de me départir de mes confrères, mais pas seulement… Précédemment, j’avais peint à l’huile durant quelques années, entre autre sur de petits formats au travers d’une loupe de philatéliste. La découverte de cette technique me donne l’idée de réunir numériquement ces deux arts que sont la peinture (envoûtante et apaisante), et la photographie. Commence alors une démarche un peu plus construite. J’écris intuitivement et photographie les éléments naturels qui m’entourent et les mets en scène à l’aide d’une tablette graphique. Je réalise des séries de tableaux photographiques qui resteront en sommeil dans mon ordinateur.
En 2016, Connaissant peu à peu mes travaux, mon entourage me pousse à franchir le pas et je dépose enfin un statut d’artisan-photographe… Enfin se réalise le rêve de toute une vie ! Et j’ose ma première exposition à Genève en 2017.
2017, ...Ou encore ma participation à Paris, à une VAE (vente aux enchères) organisée par le Musée MoLA (musée des arts numérique) à la maison Drouot. Quelques œuvres sont expertisées par le cabinet Magnin-Wedry (Commissaires-priseurs) et la vente de l’une d’elle, me permettra d’être côté à ArtPrice et d'entrer au Musée MoLA.
Lors du côtoiement de plusieurs artistes, notamment des peintres et le suivi d’une formation à l’Ecole de Design d’Arts Appliqués de Reims, je découvre et j’améliore d’autres procédés de réalisation, et d’autres visions de l’art contemporain. Sur des conseils avisés lors de mon passage à la maison des ventes de Drouot, je décide de pousser ma démarche à réaliser des œuvres uniques comme le font les peintres.
Plus tard, la chance me sourit rapidement en participant entre autre au concours professionnel des Photographies de l’année, et ce tremplin me donne accès au festival photographique professionnel de DAX et plus tard me permet de côtoyer des photographes Français de renommée internationale appartenant entre autre, à l’agence Magnum.
Aujourd’hui, toutes les œuvres sur les cimaises sont pourvues d’un certificat d’authenticité et sont enregistrés sur ArtTrust. Un scellé à bulles est apposé au dos de celles-ci.
2022 - Mes œuvres interloquent, se regardent, se lisent, se décodent. Pour moi, l'art s’envisage comme un besoin de dialoguer avec l'autre.
C’est ainsi que mes photographies sont devenues des Tableaux
L'aboutissement de 12 années de création et de recherche